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Témoignages

Maurice Duval

 

"Florence Cochet m’avait suggéré de soumettre mon manuscrit à Emmanuelle Maia pour une relecture, en m’en faisant un éloge appuyé. Certes, quelques proches avaient bien relu mon projet de roman, mais leur proximité les avait empêchés d’aboutir à une critique approfondie, proximité parfois doublée d’une maîtrise insuffisante de la langue.

Universitaire, j’ai déjà publié, y compris aux PUF, et j’imaginais bien avoir à peaufiner mon manuscrit ; l’habitude de la rédaction sociologique étant par certains aspects le contraire de l’écriture littéraire. Toutefois, je ne m’attendais pas à recevoir d’Emmanuelle Maia un texte devenu multicolore, truffé de propositions de corrections. Car cette correctrice impitoyable ne se contente pas de chasser les erreurs de français ou de ponctuation, elle suggère aussi une optimisation du texte et de sa structure. Elle a considérablement amélioré mon roman et je lui en suis reconnaissant."  (Maurice Duval, août 2021)

Marie

 

"Ma collaboration avec Emmanuelle a débuté il y a bientôt deux ans. Je l'ai découverte sur le site de Florence Cochet et ai tenté ma chance. À mon grand soulagement, elle a accepté de s'occuper de "mon cas" . Je me suis aperçue qu'elle ne se contentait pas seulement de corriger mon texte, mais qu'elle prenait aussi le temps de m'apprendre à "l'écrire".
Et on peut dire qu'il y avait du pain sur la planche !
Aujourd'hui encore, je progresse grâce à ses conseils avisés. Elle a su me guider avec patience et bienveillance.
C' est une formidable correctrice !"  (Marie, février 2021)
Sur Facebook : Hautierml Auteure

Francis Ganry

 

"Vous avez fait un travail énorme sur mon texte, et je ne saurai jamais assez vous en remercier. Vous me répondrez qu'il s'agit d'une prestation financée, oui, mais alors je répondrai : avec un excellent rapport qualité/prix ! Vous savez trouver le mot juste qui remplace la périphrase, le mot précis voire percutant qui remplace son cousin germain trop banal, l'art de corriger là où j’étais à cent lieues de penser avoir fait une faute (exemple dans véloSoleX), l'art de faire de judicieuses suggestions en phase avec le texte (exemple de la part des anges que vous avez attribuée à la fonte de mon livret de caisse d'épargne, juste après que j'ai parlé de cette fameuse part des anges). Pour cela, vous devez bien comprendre la scène, ce qui ne doit pas être facile quand l'auteur jargonne ! Je dirai presque que vous êtes ma première lectrice attentive à défaut d’être la seule avec ce degré d'attention... Ce qui me réconforte précisément, c'est que grâce à votre travail, je peux maintenant écrire pour être compris et pour être lu avec plaisir et attention, donc avec plus de chances que vous ne soyez plus la seule..." (Francis Ganry, août 2018)

Bénédicte Vidor-Pierre

 

"Je crois qu’Emmanuelle est une magicienne. 

Lorsque je lui ai envoyé mon roman, j’espérais simplement qu’elle corrige les erreurs de typographie. Et c’est bien plus que cela qui s’est opéré : Emmanuelle a littéralement réussi à faire naître mon texte. 

Fautes d’orthographe, fautes de syntaxe, redondances et répétitions, tournures de phrases, abus et tics langagiers, tout a été passé au crible ! Aussi, non seulement le texte a pu prendre vie mais j’ai pu apprendre de sa rigueur et de sa connaissance de la langue française grâce à ses suggestions, sa finesse et sa compréhension du texte.

C’est donc grâce au professionnalisme d’Emmanuelle que « Syndrome O » est arrivé au monde. Je pense sincèrement qu’elle possède un vrai talent et je ne saurai assez la remercier de le mettre au service des autres.

J’ai hâte de lui soumettre mon prochain roman." (Bénédicte Vidor-Pierre, avril 2018)

 

Bénédicte Vidor-Pierre a déjà publié deux romans :

Stéphane

 

"Le minimum de respect dû au lecteur exige un texte sans erreurs d'orthographe, de grammaire, de syntaxe et une ponctuation, une typographie, une présentation qui respectent les normes en usage. C'est le minimum syndical. Ensuite, on lui doit d'éviter les tournures négatives, de proscrire les  "mais, toujours, comme". L'enfance de l'art ! Saisi d'un léger doute, un reste de bon sens, avant de confronter votre texte au lecteur, vous adressez le fichier à Emmanuelle. Quelque temps plus tard ses corrections arrivent : une école d'humilité. Vous avez fait fort avec une phrase qui démarre par " Certains malades se sont appropriés..." et Emmanuelle, à juste titre, vous indique dans le commentaire que " Certains malades se sont approprié" serait plus approprié. Foutue langue française ! Ses corrections se succèdent au fil des pages, et vous vous demandez qui a écrit ce torchon. Le constat est douloureux : l'auteur est au clavier. Jusqu'ici, rien de plus banal ! Alors, après le choc de départ, se produit un phénomène mystérieux. Il tient à la valeur ajoutée d'Emmanuelle. Tout en vous ayant mis sous le nez vos erreurs, ses conseils bienveillants tirent votre texte vers le haut. Les interrogations qui s'ensuivent vous obligent à chercher les solutions pour y remédier car on n'a pas le droit de commettre deux fois les mêmes bourdes: une définition du maître qui n'a qu'un seul but, que l'élève donne le meilleur de lui-même. Ensuite, la balle est dans votre camp, 90% de travail et 10% d'inspiration." (Stéphane, décembre 2017)

Jean-Marc Ligny

 

"Au bout de presque 40 ans de carrière, je pensais avoir un style assez bien rodé pour qu'une correction se résume, dans mon idée, à rectifier quelques fautes de frappe et d'inattention. Puis Emmanuelle a relu "La Roche au Démon" et là, j'ai vu ce que c'était qu'une "vraie" correction. Emmanuelle est d'une clairvoyance et d'une minutie impitoyables, non seulement concernant l'écriture en français correct, mais également concernant le style : aucune lourdeur, aucune répétition, aucun "nid" d'adverbes, aucune tournure de phrase bancale ou forme passive mal employée ne lui échappe ! Elle cisèle un texte brut avec la précision d'un joaillier pour en extraire le diamant de l'histoire. Qu'on soit auteur débutant ou confirmé, tout texte est toujours perfectible et Emmanuelle incarne la perfection. Ou du moins la vise, si tant est qu'on ne puisse jamais l'atteindre. J'ai hâte de continuer avec elle. Elle est tout bonnement indispensable."  (Jean-Marc Ligny, décembre 2016)

Jean-Marc Ligny a déjà publié plus de 40 romans, parmi lesquels :

  • Jihad, éditions Denoël, 1996

  • Aqua™, éditions L'Atalante, 2006

  • Exodes, éditions L'Atalante, 2012

Dominique

 

"C'est le bouche à oreille qui m'a fait connaître Maux de Textes et l'implacable regard d'Emmanuelle Maia. Elle n'a pas son pareil pour détecter les redites, les redondances, les lourdeurs, les contresens. 

 

Sa correction est limpide : d'un coup d'œil, on comprend quels adverbes ont été trop souvent utilisés. Je savais qu'il fallait user avec parcimonie de la "vermine adverbiale", distiller avec mesure les "toujours", les "jamais", les "pas même...", ne pas polluer mon texte du si pratique "petit" assaisonné à toutes les sauces et pourtant, après d'innombrables relectures, la récolte d'Emmanuelle a été saisissante.

 

Soyons honnêtes : elle redresse des maladresses que personne, avant elle, n'avait relevées. Son aide m'a été très précieuse. Le forfait proposé, après étude du document, s'est avéré d'un rapport qualité / prix imbattable." (Dominique, décembre 2016)

Nicolas François

 

    "Emmanuelle Maia n’est pas que correctrice. En plus d’être devenue une amie très chère – et pas qu’à cause de ses tarifs (1) –, elle est aujourd’hui intégrée dans mon travail comme une étape naturelle du processus d’écriture. C’est comme ça. Il ne me viendrait plus à l’esprit de faire sans elle.

    Lorsque j’écris, je fais attention aux répétitions, aux accords, à l’orthographe, à l’usage inconsidéré des adverbes, des négations, je peaufine mon style et, une fois le boulot achevé, je fais appel à Emmanuelle.

    Normal.

    Alors bien sûr, je faisais déjà attention à tout cela avant de la connaître. Du moins le croyais-je. D’une manière naïve – et sans doute aussi par un léger excès d’orgueil – j’étais convaincu que son apport se limiterait à quelques finitions sans importance, à un fignolage rapide, enfin bref à un « décoquillage » superficiel. Non pas que je doutasse (spéciale dédicace) de ses capacités, mais plutôt que je crusse un peu trop en les miennes.

    Erreur grave ! En fait de passage au papier de verre triple zéro, j’ai eu droit à un travail en profondeur. Emmanuelle sait autant manier le surligneur que l’engin de terrassement ou la règle d’architecte. Virer quatre ou cinq chapitres pour équilibrer l’édifice ne lui fait pas peur, en déplacer d’autre par souci d’équilibre scénaristique ou en faire écrire de nouveaux non plus. Tout cela sans préjudice d’une vérification poussée de l’orthographe, de la syntaxe, de la grammaire, du style et des incohérences de toutes sortes.

    Devant tant de compétences, de capacités de travail, on se sent tout petit.

    Elle m’a fait marner comme une brute. Je l’ai vouée aux gémonies. Elle m’a soutenu et encouragé sans jamais lésiner sur sa disponibilité. Au final, à l’heure de l’ultime relecture, je suis bien obligé d’admettre un truc : elle avait foutrement raison ! (Cet adverbe est un cadeau de la maison.) Mon roman est transfiguré.

    Emmanuelle, je te voue une reconnaissance éternelle."  (Nicolas François, avril 2015)

 

(1) Je déconne, elle est aussi abordable qu’accommodante.


Nicolas François a déjà publié deux romans, conjointement avec Fabrice Pate, sous le peudonyme de Fabrice Nicolas :

  • Les Marionnettistes, éditions Nuit d'avril, 2006

  • Nous nous reverrons... Hier, éditions Nuit d'avril, 2005

Rose Morvan

 

"J'ai déjà confié quatre tapuscrits à Emmanuelle Maia. Elle a effectué un travail minutieux allant du décoquillage au relevé de redondances, de tics d'écriture, d'incohérences dans la trame de narration. J'ai apprécié en particulier ses suggestions pertinentes pour reprendre certains passages. Mes écrits ont ainsi gagné en fluidité, expressivité et efficacité.

 

Emmanuelle a joué aussi le rôle de ma bêta-lectrice sur de courts écrits, me livrant son ressenti de lectrice pour que je puisse améliorer la perception des actions ou des personnages."     (Rose Morvan, février 2015)

 

Rose Morvan a déjà publié plusieurs romans aux éditions HQN et elle ne compte pas s'arrêter là...

  • Un improbable amour, éditions HQN, mars 2015

  • Une Renaissance, éditions HQN, septembre 2014

  • Deuxième chance, éditions HQN, mai 2014

 

Vous pouvez la retrouver sur sa page Facebook...

 

Vanessa G.

 

"Emmanuelle représente le coup de pied bien placé qu'il me fallait pour me lancer dans l’écriture. J'ai toujours aimé imaginer des histoires sans jamais les coucher sur papier (ou seulement à moitié). Avec son aide, j'ai pu écrire ma première nouvelle de A a Z avec corrections et modifications, de manière à arriver à un résultat abouti. Les coaching m'ont permis de comprendre que l’écriture n'est pas quelque chose de simple (ou en tout cas, quelque chose de plus compliqué que ce que je pensais). Elle a su faire preuve de patience pour me faire comprendre où se situaient la plupart de mes erreurs. Mais surtout, grâce à ses encouragements, je me suis mise a écrire plus souvent, en faisant bien attention aux précieux conseils prodigués lors de nos séances de coaching. Pour tout ça, je la remercie infiniment !"

Fabrice Pate

 

"Romancier amateur qui espère jouer demain dans la catégorie des professionnels, j'ai toujours le sentiment, à la fin d'un récit, d'avoir délivré le texte définitif, quasi-parfait, prêt à l'emploi. Toutefois, avant de sceller mon chef-d'œuvre dans une enveloppe pour le soumettre aux fourches caudines des maisons d'édition, il me vient toujours comme un léger doute. Et si j'avais oublié, par inadvertance, un trait d'union quelque part ? La question m'angoisse, me taraude.

Mes Miel Pops n'ont plus de goût, la vie me paraît fade, je ne dors plus.

Dans ces cas-là, je ne connais qu'une seule solution : passer mes 300 pages au révélateur de la technologie Emmanuelle Maia.

Sous son apparence humaine très bien imitée, Emmanuelle Maia est en réalité un Terminator doté d'un puissant logiciel de correction, probablement conçu quelque part loin dans le futur. Je sais qu'elle va scanner mes 300 pages lettre par lettre. Qu'elle poussera la vérification jusqu'à s'assurer que les atomes qui composent le papier sont bien alignés.

Je suis serein, mes Miel Pops retrouvent leur saveur.

Bien sûr, quand mes 300 pages me reviennent, elles sont un champ de bataille. Un trait d'union oublié ?

Oui, et des accords à contresens, aussi. Des mots mal orthographiés. Des coquilles. Des phrases aussi bancales qu'un
cheval à trois pattes. Un total irrespect des règles de la bienséance typographique. Bref, une montagne de petits défauts que l'auteur ne voit plus à force d'avoir travaillé dur son texte. Il n'a plus la distance nécessaire, c'est pourquoi un regard extérieur est impératif, indispensable pour qui se soucie de proposer à l'auditoire un texte épuré de ses scories.

Au final, quand je glisse mon précieux roman dans la boîte aux lettres, j'ai l'esprit serein. Il plaira ou non mais je sais qu'il sera jugé sur le fond, car la forme est la plus proche possible de la perfection.

 

Et je dis : "Merci, Emmanuelle !"    (Fabrice Pate, janvier 2015)

Fabrice Pate a déjà publié deux romans, conjointement avec Nicolas François, sous le peudonyme de Fabrice Nicolas :

  • Les Marionnettistes, éditions Nuit d'avril, 2006

  • Nous nous reverrons... Hier, éditions Nuit d'avril, 2005

José T.

 

"Un éditeur s’intéresse à mon manuscrit. Quelle merveilleuse nouvelle !
La première personne à qui je pense est Emmanuelle, ma relectrice. Grâce à ses talents professionnels que je ne vais pas énumérer, elle a répondu à toutes mes attentes d’écrivain débutant, naïf et flemmard. Elle a su donner à mon récit de la fluidité et de la crédibilité. Ses questionnements, son opiniâtreté et son franc-parler m’ont enrichi personnellement. J’ai parfois râlé dans mon coin de devoir refaire un passage ou de compléter une référence, voire de me préoccuper des copyrights, et j’ai même une fois hésité à tout arrêter tant la tâche me semblait complexe. Et dans ce moment de grand doute, Emmanuelle a trouvé les mots qu’il fallait pour me relancer : elle est fine, elle est maligne et elle ne lâche rien ! De plus, pour elle, l’autre, l’individu ou le client, est important dans sa globalité, et cela compte pour moi !
Merci Emmanuelle, on se voit pour le tome 2.
"  (José T., février 2022)

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